![La marmite d’Ayoub La marmite d’Ayoub](/uploads/document/thumbnails_small/media_temp_1518779667.jpg)
« Révélation ! La beauté n’est rien d’autre que révélation, celle d’une lumière enfouie, intérieure. Cette femme n’était pas nue, mon ami !
Vous pouvez me croire. Son offrande, sa nudité, était chaste. Chaste et jamais obscène... Pour lui, tout était guerre et butin de guerre. Sonesprit ne saurait aller au-delà, l’imbécile… Chez lui, il n’y avait ni quêteni séduction. Toute prise ne pouvait se réaliser que par la destruction.Son pouvoir était bestialité.La Beauté un sacrilège ? Il fallait l’avilir, l’enterrer, l’enrouler dans unerobe noire … La beauté, mon frère, en toute chose, ne redoute pas la
vérité. »Dans ce troisième roman, Med Ridha Ben Hamouda nous inviteà réfléchir sur la notion du bonheur dont « la quête renaît quand labarque chavire, le sol se dérobe et la vue se lézarde. »
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La marmite d'Ayoub ou la nature du bonheur
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